Destiny s’adresse principalement aux PME, mais elle compte également quelques grands noms dans sa clientèle, dont Katoen Natie, Standaard Boekhandel, Würth, Fujitsu, Veritas, Lampiris, Cefora, McDonald’s, Ecover, ZEB, Antargaz, Gabriels, etc... Mais avez-vous déjà refusé des clients ? Daan De Wever : « Oui, c’est déjà arrivé. Je pense que ça doit “matcher”. Si les clients ne viennent que pour le prix et ne veulent pas créer une valeur ajoutée, nous passons notre tour. Pour nous, un client est aussi un partenaire. Nous pensons avec le client, nous l’écoutons et nous construisons la solution adéquate. Nous guidons le client vers l’avenir. »
« Penser ou oser penser grand : telle est ma devise. »
Et comment Daan De Wever envisage-t-il l’avenir ? De Wever explique : « Vous connaissez désormais l’histoire de la croissance de Destiny. Le travail ne finit jamais pour moi non plus. L’entrepreneuriat est inscrit au cœur de cette démarche. Penser ou oser penser grand : telle est ma devise. Il est néanmoins important de trouver un équilibre entre le travail et la vie privée, car je ne peux pas travailler 18 heures par jour comme je le faisais au début. Parfois, il faut un peu "décompresser". Pour moi, cela passe par exemple par l’Africa Uganda Challenge Edition 2018, auquel je vais participer. Pas moins de 77 participants (l’édition est désormais complète, NDLR.) vont enfourcher leur VTT pour parcourir 600 km et 6 000 altimètres à travers la Perle de l’Afrique en 6 jours, du 3 au 10 février 2018, au profit d’Amref Flying Doctors et d’une meilleure santé en Afrique. » Un tel tour de force est synonyme de « décompression » pour vous ? « C’est ma façon de me détendre : trouver l’effort et la satisfaction dans la nature », assure De Wever, qui sera à nouveau dans le « parfait équilibre » après le 10 février 2018....