Joachim Lauwers a près de vingt ans d’expérience dans le domaine des télécoms. « Pendant plus de dix ans, j’ai travaillé dans un contexte d’acquisitions », explique-t-il. « J’ai un peu touché à tout, des activités opérationnelles au marketing. J’ai travaillé pour le marché B2C comme pour le marché B2B. Tele2-Versatel m’a par exemple confié le lancement d’une unité B2C. C’était passionnant, ne fût-ce que parce qu’il fallait tout construire, en partant de rien. Mais je préfère tout de même le business-to-business. C’est là qu’on a le plus d’impact. Dans un environnement B2C, le marketing joue un rôle de taille. Du coup, on travaille sur toutes sortes de campagnes, mais l’impact personnel est limité. Je veux bâtir quelque chose. C’est pourquoi je préfère les entreprises à fort potentiel de croissance, comme Destiny. »